Texte à l’arrache 320

 Dans Textes à l'arrache

(« critique de l’opinion pratique du principe de la succession chronologique suivant la loi de causalité » par Edith Piouf, sur une musique de Jul, Black M, et Rimsky-Korsakoff)

Des concepts qui font baisser les miens,
une éthique qui se perd sur son front, voici le portrait sans babouche, de l’homme à la critique facile. Kant, il me prend dans ses bras, il me parle tout bas, et je n’y comprends rien. Il me dit des mots balourds, des mots qu’on voit pas tous les jours, et ca fait quelque chose. Il a jugé mon coeur, transcendantal déducteur, de l’intuition de mes axiomes. C’est lui, l’expérience impossible de ma liaison de mes perceptions, il me l’a dit, et je n’ai rien compris.Et dès que je l’aperçois, alors je sens en moi, qu’il faut que je me barre de là
Des nuits de debats à ne plus en finir. Un grand principe de permanence de substance, des certitudes, de substances s’effacent. Ennuyeux, ennuyeux à mourir.
Kant, il me prend dans ses bras, il me parle tout bas, et je n’y comprends rien. Il me dit des mots balourds, des mots qu’on voit pas tous les jours, et ca fait quelque chose. Il a jugé mon coeur, transcendantal déducteur, de l’intuition de mes axiomes. C’est lui, l’expérience impossible de ma liaison de mes perceptions, il me l’a dit, et je n’ai rien compris.

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