Texte à l’arrache 159
(Traduction à l’arrache : The Tables Turned, de William Wordsworth. Ecrit en 1798. Moi, toute petit crotte prosternée, Wordswoth si grand, si grand ! Enfin, utilisation des points-virgules pour la première fois !)
Hop! Hop! L’ami, laisse tomber ce recueil,
Ou pour sur tu t’empâteras,
Hop! Hop! L’Ami, et nettoie ton oeil,
Que sont ces problèmes d’emploi ?
Le soleil au dessus des sommets,
D’un lustre velouté embellit
Tous les longs champs verts, et
Étend son doux soir jauni.
Les livres ! Éternelle morne lutte:
Viens, écoute la linotte dans les bois.
Quelle belle musique !
Juré-craché *shplutt!*
Il y a plus de leçons dans cela.
Capte ! Qu’il est joli, l’oiseau qui chante!
Lui non plus, n’est pas un lourd parleur.
Avance dans la lumière ambiante,
Laisse la Nature être ton professeur.
Elle a un monde plein de richesses,
Pour bénir nos esprits et nos cœurs
La Santé respire la sagesse,
La Vérité, la bonne humeur.
L’impulsion d’un bosquet au Printemps
T’apprendras plus qu’un homme, sur le gentil et le méchant.
Plus que toutes les sages pommes.
Douceur est le savoir que la Nature apporte;
Notre intellect méprisant
Déforme la beauté des sortes-
On tue en disséquant.
Assez d’Art et de Sciences;
Ferme-moi ces feuilles sans joie;
Amene-toi, et amene aussi un sens
Qui bien regarde et bien reçoit.