Canned Heat-On the Road Again
« Chaleur en Conserve », ça, c’est un nom de groupe de circonstances. Ces charmants jeunes gens touffus invitent à partir « Sur la route à nouveau ». Prendre l’air. Le frais. Aaah….
Je suis si las de pleurer
Mais je suis de nouveau sur la route
De nouveau sur la route
Je suis si las de pleurer
Mais je suis de nouveau sur la route
De nouveau sur la route
Et je n’ai personne
Que je puisse appeler ma louloute
La première fois que j’ai voyagé
Là, dans la pluie et le froid
Dans la pluie et le froid
La première fois que j’ai voyagé
Là, dans la pluie et le froid
Dans la pluie et le froid
Je n’avais même pas de paie
Rien de quoi appeler un toit
Et ma chère mère m’a quitté
Quand j’étais tout petit
Quand j’étais tout petit
Et ma chère mère m’a quitté
Quand j’étais tout petit
Quand j’étais tout petit
Elle dit : « Dieu aies pitié
de mon fils perverti »
Comprends ce message, maman
Ne pleure plus s’il te plaît
Ne pleure plus s’il te plait
Comprends ce message, maman
Ne pleure plus s’il te plaît
Ne pleure plus s’il te plaît
Car bientôt un matin
Je reprendrai mon chemin
Mais je ne parcours pas
Cette vieille longue route solitaire
Seul comme un apôtre
Mais je ne parcours pas
Cette vieille longue route solitaire
Seul comme un apôtre
Je peux pas te porter, bébé
Je vais porter quelqu’un d’autre
(1968. Paroles : Floyd Jones / Alan Wilson. Traduction/adaptation à l’arrache : Bernard Vinzoliers)