Consolation
Tu sembles triste mon amour L’angoisse se lit au détour De tes sourcils Le Grand Culpabilisateur Le feuilleton de la Terreur Te rends fébrile Le monde est sous anesthésie Plus rien ne ressemble à [...]
Tu sembles triste mon amour L’angoisse se lit au détour De tes sourcils Le Grand Culpabilisateur Le feuilleton de la Terreur Te rends fébrile Le monde est sous anesthésie Plus rien ne ressemble à [...]
Poème beat (rip Lawrence Ferlinghetti) Tout les jours que dieu fait les fourmis courent comme des lemmings En feu toute la journée Actives et affairées avant que ferme la herse Un jour elles [...]
Dessous le bitume recousu où s’exposent Des ulcères menant à l’égout ou l’enfer, Sent-on encore pulser les métamorphoses À avoir brusqué les strates de la terre ? Les ruisseaux, les forêts et [...]
The unchanged world Is the real world Bushy disordered nest of The unfathomable truth Covered behind The healing sun Life hiding still under Movements of death While the sunken monster lies Under [...]
Effondré, à genoux face à la fleur étrange L’homme-viande est happé. La corolle lui mange Le visage. Dans la bouche le pistil entre Jusqu’au cerveau et la tige noue son ventre. Chair végétalisée, [...]
Sans profil, sans compte, sans valeur, sans données, Avachi la tête dans le plastique vert, Savourant les tourments d’une existence amère, Songe ésotérique de vie abandonnée Ego dénoyauté, vidé [...]
DÉ-PRÉ-SSION ou Ne me parlez pas de liberté si on a plus le droit d’être triste. la nuit face à l’espace menace moins que l’astre du jour le soleil ment sur la terre piège de [...]
Grands poulpes vampires des abysses antarticques Dans la froide nuit eternelle et liquide. Animaux moches et blancs, à reflets acryliques, Chauve-souris molles dans un ciel livide, Volent [...]
A l’enterrement d’un rat crevé Il n’y avait personne pour pleurer (A part un ou deux fêlés) Il a plu, il a neigé A l’enterrement d’un rat crevé A l’enterrement [...]
Poèsisme litteratoire en françouille minute-express : En bas, au coin d’la rue, y a un enfant qui braille, Dont les cris irritants m’arrachent à la stupeur Où, sans interruption, je [...]