Skeletor nostalgie

 Dans Skeletor confiné
-Panthor ? Panthoufle ? Panpan, où es-tu ? Ah, tiens tu regardes des clips ringards sur TuTube ? Je ne peux pas t’en vouloir, il n’y a vraiment rien à faire en ce moment. Attention quand même, écouter trop de mauvaise musique, ça peut donner des tumeurs au cerveau, hahaha. Alors, qu’est-ce que tu mates ?
« Comme un pincement d’l’intestin grêle
Quand on est au bout de soi-même
Quand il n’y a plus aucune raison de le cacher
Comme une envie de péter dans l’eau
Te faire enfin le prout qu’il faut
Les pets faciles qui ont le pouvoir de déranger
Dégazons gaiement

N’attendons pas que la mort nous vide de nos vents
Dégazons gaiement
S’il faut lâcher, je veux lâcher maintenant

Dégazons gaiement… »
-François Malvielly, Ohlala tu attaques dur Panthor. Roh, ces coupes de cheveux, ces fringues, quand tu penses qu’il y a un revival de ces années là… Ils sont fous les eterniens, ça se sent que ceux qui trouvent ça cool n’ont pas vecu à cette époque. Enfin, ça se sent… Façon de dire, huhu.
*cliczap*
« Chérie tu me donnes ton prion
Et je trouve ça délicieux
Je n’suis pas branché pensant
J’suis plutôt super collant
Aujourd’hui tu vas oublier
Les assureurs qui n’ont pas assuré
Y a pas que le zizi dans la vie
Y a le sexe aussi
Vas-y Brancky c’est bon
Vas-y Brancky c’est bon bon bon
Vas-y Brancky c’est bon
Vas-y Brancky c’est bon bon bon »
-Ouahrgl, Brancky Pincent ! C’est du violent, non mais regarde moi ce marcel transparent qui lui moule la brioche, pouah ! Et ces paroles… Je vois d’ici le tableau : tout miel jusqu’à parvenir à ses fins, tout zyklon B quand il se rhabille. Seigneur Vador, le clip d’après ne pourra pas être pire…
*cliczap*
« Femme, femme

Simplement je te dis
Que je t’écrème, crème
T’es comme une bouteille
Que je vide à la brasserie
Et je prends mon pied en toi
Femme, femme
Je te dédie ce rot
À toi, rien qu’à toi
Et ils te diront
Comment du béant
Tu as fait un poivrot de moi »

-Jean-Luc Çabrhaye… Ah ben tiens si, c’est pire. Pardon Brancky, je fus medisant…
*cliczap*
«Juste un fist au poing
Sur le plus beau bondage de ma vie
Sur les lames pâles d’une croix de saint Andreï
Sur l’état-d’âme d’une sadique sans alibi
Qui rôde toutes les nuits
Juste un fist au poing
Pour un petit clin d’œil à coup d’orties
Pour tous les fous, les crevards de l’amour
Pour toutes les victimes du masochisme, comme toi
Juste un p’tit clin d’œil, un fist au poing… »
-Par tout les démons de l’enfer, Jackie Basalte ! J’avais complètement oublié. Quelle horreur. Ce qui est beau avec le caca c’est que quelle que soit l’époque, ça a toujours le meme goût. On a beau jeu de dire aux jeunes qu’ils écoutent de la m[bip], c’était pas mieux avant… Fascinant… Hypnotique… Comme disait Freddy Nietzsche, l’abîme appelle l’abîme, hein ? Vas-y Panthor, mets-en une autre.
*cliczap*
« Ah
Pourquoi ce chorizo
Si fort, si chaud
Qu’il grillait sur ta peau
Faisant l’effet d’un réchaud
Et tu recherches une bière dans l’ombre
Une 8-6 qui se lâche
Une kro sans image
Un punk à chien qui voudrait crier
C’est la dernière fois
Toute, toute dernière fois
Toute, toute dernière fois
Toute, toute dernière fois
C’est la dernière fois
Toute, toute dernière fois
Toute, toute dernière fois
Toute, toute dernière fois »
-Mouhahahaha, Jeanne Brasse, c’est le ponpon ! C’est nuuuuuul ! Hihihihi… Mais ? Aïe, quel est cette douleur subite ? dit Skeletor en se prenant la tête à deux mains… Ouille ! Trop… de … mauvaise… variété…  Panthor, coupe le son, viiiiite !!! Aaarg, ma glande pinéale ! Hiiik, mon hypophyse ! Oï, mon thalamus ! Aaaaaaaaaarrrrggggh !!!
*sprutch.* (bruit de crâne qui éclate.)
-Snif…Ça m’apprendra…
Pauvre Skeletor.
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