Ce qui est là
Le trépas intérieur, mal que rien n’apaise
Guérissable une seconde par une bonne baise
En frottant longuement nos chairs de mollusques
Oublierons-nous peut-être cette vérité brusque
Nous naissons, nous mourrons, et entre nous souffrons
Inacceptable poids dans nos cœurs de larrons
Écrasés, piétinés, par des pieds d’éléphants
Impossible de nier ce fait catastrophant
Peu importe à ceux deja pris dans la toile
Des instincts de l’espèce. Rien ne dévoile
À eux ce qui est là : les forces entêtées
Guérissable une seconde par une bonne baise
En frottant longuement nos chairs de mollusques
Oublierons-nous peut-être cette vérité brusque
Nous naissons, nous mourrons, et entre nous souffrons
Inacceptable poids dans nos cœurs de larrons
Écrasés, piétinés, par des pieds d’éléphants
Impossible de nier ce fait catastrophant
Peu importe à ceux deja pris dans la toile
Des instincts de l’espèce. Rien ne dévoile
À eux ce qui est là : les forces entêtées
Qui consolent de vivre ce temps limité
Les minuscules vibrations se dégustent
Et suspendent un instant nos existences injustes
Lorsque démultiplié vient soudain l’effroi
D’être seul, et l’incapacité de la foi.Visions de paysages aux couleurs d’aquarelle
Mélange d’infinis liant la mer au ciel
Les système sanguin des troncs aux bras tendus
Les minuscules vibrations se dégustent
Et suspendent un instant nos existences injustes
Lorsque démultiplié vient soudain l’effroi
D’être seul, et l’incapacité de la foi.Visions de paysages aux couleurs d’aquarelle
Mélange d’infinis liant la mer au ciel
Les système sanguin des troncs aux bras tendus
Les angles droits pressés des moucherons perdus
Les oiseaux invisibles et les eaux méditantes
Les collines bleues aux formes fainéantes
Les oiseaux invisibles et les eaux méditantes
Les collines bleues aux formes fainéantes
Les odeurs de bitume emmenées par le vent
Le tissus granuleux des murs luminescents
Les formes géométriques sur la planète
Qui entrelacent leurs masses et leurs arêtes
L’électricité qui court le long de mes nerfs
Quand sous les hauts platanes nous buvons un verre
Le tissus granuleux des murs luminescents
Les formes géométriques sur la planète
Qui entrelacent leurs masses et leurs arêtes
L’électricité qui court le long de mes nerfs
Quand sous les hauts platanes nous buvons un verre
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