Portishead-Wandering Star
Les joyeux tugudus du « Promontoire du Port » nous entretiennent d’astronomie dans cette chanson guillerette « Étoiles errantes ». Youpi !
Peux-tu rester un peu pour partager ma peine, s’il te plaît
Car c’est un jour si joli
Pour devoir se sentir ainsi
Et le moment où je souffrirai moins
Sera celui de mon sommeil sans fin
Étoiles errantes, à qui est réservé
La noirceur des ténèbres pour l’éternité
Étoiles errantes, à qui est réservé
La noirceur des ténèbres pour l’éternité
Ceux qui ont vu les yeux perçants, écrasent désormais
Comme une cosse, tout ce qui était, envolé
Et les masques, par les monstres portés
Pour sur leurs proies festoyer
Étoiles errantes, à qui est réservé
La noirceur des ténèbres pour l’éternité
Étoiles errantes, à qui est réservé
La noirceur des ténèbres pour l’éternité
Courbé dans mon dedans
Lâcher sa tristesse prend du temps
Toujours courbé en dedans
Raillé, cruel
Étoiles errantes, à qui est réservé
La noirceur des ténèbres pour l’éternité
Étoiles errantes, à qui est réservé
La noirceur des ténèbres pour l’éternité
(1994. Paroles : Beth Gibbons. Traduction à l’arrache : Happy Tree Vinzo.)